L'extrême pauvreté constitue un problème important dans les zones rurales du monde entier, où environ 801 personnes TP3T vivent dans ces conditions. Parmi ces individus, environ 76% sont impliqués dans l’agriculture et nombre d’entre eux dépendent de l’agriculture de subsistance pour leur survie.
Cependant, les systèmes agroalimentaires sont confrontés à des chocs et à des tensions qui peuvent compromettre leur stabilité et affecter négativement les groupes les plus vulnérables, qui ne disposent pas de moyens adéquats pour faire face aux risques. Cette situation peut conduire à un cycle de pauvreté, de misère et de faim dans ces communautés.
Pour relever ces défis, il est nécessaire d’adopter des approches inclusives de gestion des risques qui répondent aux besoins immédiats des populations touchées par les chocs, tout en s’attaquant aux causes profondes de la vulnérabilité. L’objectif est de créer des communautés résilientes et pacifiques, capables de faire face aux défis et aux incertitudes inhérents à l’agriculture.
Dans ce contexte, la protection sociale joue un rôle crucial. Il comprend un ensemble de politiques et de programmes visant à remédier aux vulnérabilités économiques, environnementales et sociales qui contribuent à l'insécurité alimentaire et à la pauvreté. La protection sociale cherche à agir de manière préventive, protectrice, promotionnelle et transformatrice à l’égard de ses bénéficiaires.
Ces interventions sont mises en œuvre à travers une variété d'instruments, généralement regroupés en trois piliers principaux : l'assistance sociale, l'assurance sociale et les interventions sur le marché du travail. Ces piliers couvrent un large éventail de mesures, telles que les programmes de transfert de revenus, les subventions alimentaires, l'assurance agricole, la formation et le développement professionnel, entre autres.
La protection sociale joue un rôle fondamental dans la réduction de l’extrême pauvreté et l’augmentation de la sécurité alimentaire, en particulier dans les zones rurales dépendantes de l’agriculture. En apportant un soutien économique et social aux familles vulnérables, il augmente leur résilience pendant les périodes de choc et encourage les investissements dans une production agricole plus durable. En outre, il peut contribuer à la promotion de communautés rurales plus équitables et inclusives en offrant des opportunités de développement et d’autonomisation aux agriculteurs et à leurs familles. Cela peut impliquer de créer des conditions propices à la croissance économique locale, de renforcer les capacités productives et l’accès aux services de base tels que l’éducation et les soins de santé.
Au Brésil, les organisations non gouvernementales (ONG) ont joué un rôle fondamental dans le développement d'une agriculture écologique et agroécologique durable, en représentant les désirs de la société et en faisant pression pour des politiques publiques dans le secteur. Depuis les années 1980, plusieurs ONG se sont concentrées sur agriculture alternative, qui a ensuite été remplacé par le terme agriculture écologique. Actuellement, le terme agriculture organique est largement utilisé pour couvrir les différents aspects de cette approche.
Ce mouvement agroécologique s'est renforcé dans le pays, favorisant l'adoption de technologies et de techniques agricoles respectueuses des ressources naturelles et favorisant la durabilité.
En outre, les chercheurs qui rejoignent le mouvement alternatif ont eu un impact significatif sur la science et la technologie agricoles. Ils ont recherché des fondements scientifiques pour les propositions techniques du système agroécologique, contribuant à la construction de connaissances et à la validation de pratiques durables. Cette collaboration entre chercheurs et agriculteurs a abouti à des avancées importantes dans le développement de systèmes agricoles plus équilibrés qui prennent en compte les aspects environnementaux, sociaux et économiques de la production alimentaire.
L'agriculture durable apporte un certain nombre d'avantages significatifs aux agriculteurs, à la société et à l'environnement.
En d’autres termes, il vise à conserver les ressources naturelles, telles que l’eau, le sol et la biodiversité, en garantissant leur disponibilité pour les générations futures. En adoptant des pratiques de gestion adaptées, il contribue à la préservation de la fertilité des sols, de la qualité de l'eau et de la santé des écosystèmes.
La production agricole durable donne la priorité à l’utilisation de techniques et d’intrants naturels, réduisant ainsi la dépendance aux pesticides et aux engrais chimiques. Il en résulte une alimentation plus saine et plus sûre, exempte de résidus toxiques, ce qui contribue à la sécurité alimentaire de la population.
L'agriculture durable favorise également le bien-être social en valorisant le travail des agriculteurs et en améliorant leurs conditions de vie. En créant des opportunités de travail et de revenus équitables et équitables, il contribue à l’inclusion sociale, en particulier dans les communautés rurales.
Un autre avantage important est la réduction des déchets et l’optimisation des ressources. L'agriculture durable recherche l'efficacité dans l'utilisation de l'eau, de l'énergie et d'autres intrants agricoles, en évitant le gaspillage et en réduisant les coûts de production. Cela apporte des avantages économiques aux agriculteurs et contribue à la préservation de ressources rares.
L’agriculture durable se distingue également par sa résilience face au changement climatique. En adoptant des pratiques qui augmentent la diversification des cultures, la conservation des sols et la bonne gestion des ressources en eau, il renforce les systèmes agricoles, les rendant plus à même de faire face aux défis climatiques et réduisant les risques associés tels que les sécheresses et les inondations.
Promouvoir l’égalité des genres : le potentiel de transformation des femmes dans les systèmes agroalimentaires
L'égalité des femmes dans les systèmes agroalimentaires est un sujet extrêmement important et a été reconnu comme un élément clé pour stimuler l'économie mondiale et réduire l'insécurité alimentaire. Un nouveau rapport de Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) souligne que la promotion de l'égalité des sexes dans ce secteur pourrait entraîner une augmentation pouvant atteindre 1 000 milliards de dollars US dans l'économie mondiale et réduire l'insécurité alimentaire de 45 millions de personnes.
Les systèmes agroalimentaires jouent un rôle fondamental dans la vie des femmes du monde entier. En fait, les femmes constituent une partie essentielle de la main-d’œuvre dans ce secteur et, dans de nombreux pays, dépendent de ces activités pour leur subsistance. Cependant, malgré leur rôle crucial, les femmes sont confrontées à des défis et à des inégalités importants par rapport aux hommes dans les systèmes agroalimentaires.
Le manque d'accès aux ressources productives, telles que la terre, le crédit, les semences et les technologies, est l'un des principaux obstacles auxquels les femmes sont confrontées dans ce secteur. En outre, ils sont souvent confrontés à des restrictions culturelles, sociales et juridiques qui limitent leur participation pleine et égale.
Le rapport de la FAO souligne qu'investir dans l'égalité des sexes dans les systèmes agroalimentaires peut générer des avantages significatifs. L'inclusion des femmes dans ce secteur stimule la productivité et l'efficacité, améliore la sécurité alimentaire et nutritionnelle, favorise une croissance économique durable et contribue au développement social.
Lorsque les femmes ont un accès égal aux ressources productives, elles sont en mesure d’augmenter leur productivité et d’améliorer la qualité des aliments produits.
L’égalité des sexes dans les systèmes agroalimentaires a également un impact positif sur l’économie mondiale. Le rapport de la FAO souligne que l'élimination des inégalités entre les sexes dans ce secteur pourrait générer une augmentation pouvant atteindre 1 000 milliards de dollars US dans l'économie mondiale d'ici 2030. Cette valeur est le résultat de l'augmentation de la productivité agricole, de la croissance de l'emploi et de la stimulation d'autres secteurs économiques.
Investir dans l’égalité des sexes dans les systèmes agroalimentaires est essentiel pour lutter contre l’insécurité alimentaire. Le rapport estime que la réduction des inégalités entre les sexes dans ce secteur pourrait conduire à une réduction de 45 millions de personnes en situation de vulnérabilité.
Le rapport sur la condition des femmes dans les systèmes agroalimentaires souligne l'importance cruciale de réduire les inégalités entre les sexes, d'améliorer l'accès aux ressources et de promouvoir la résilience comme voie fondamentale pour parvenir à l'égalité des sexes, autonomiser les femmes et établir des systèmes agroalimentaires plus justes et durables.
L'une des principales recommandations du rapport est de combler les écarts liés à l'accès aux actifs, à la technologie et aux ressources. Cela implique de garantir que les femmes aient des chances égales d'acquérir et d'utiliser des ressources, telles que la terre, le crédit et les intrants agricoles, ainsi que d'avoir accès aux technologies appropriées adaptées à leurs besoins. La lutte contre ces inégalités contribuera à accroître la productivité des femmes et à renforcer leur position dans les systèmes agroalimentaires.
Une autre recommandation clé est de s’attaquer au fardeau disproportionné que représentent les travaux domestiques et de soins non rémunérés pour les femmes. Investir dans les infrastructures sociales, telles que des services de garde d'enfants abordables et de qualité, peut libérer le potentiel économique des femmes, leur permettant de participer pleinement à la population active et d'avoir de meilleures opportunités d'emploi. En outre, la mise en œuvre de programmes de protection sociale efficaces peut accroître la résilience et la sécurité économique des femmes.
Le rapport souligne également l’importance des approches transformatrices en matière de genre pour changer les normes discriminatoires. Cela implique de remettre en question les stéréotypes de genre bien ancrés et de promouvoir une culture d’égalité et de respect dans les systèmes agroalimentaires. De telles approches promeuvent non seulement la justice de genre, mais génèrent également des retombées économiques significatives, contribuant au développement durable.
Enfin, les auteurs du rapport soulignent le besoin urgent d'améliorer la disponibilité de données de haute qualité, ventilées par sexe, âge et autres formes de différenciation sociale et économique. Ces données sont essentielles pour suivre les progrès, identifier les lacunes et éclairer les politiques et programmes efficaces visant à promouvoir l’égalité des sexes dans les systèmes agroalimentaires.
Le rapport démontre que la réduction de l’écart entre les sexes en matière de productivité agricole et l’égalisation des salaires entre hommes et femmes dans le secteur agricole mondial pourraient augmenter le produit intérieur brut mondial de près de 1 000 milliards de dollars US. En outre, cette égalité des sexes pourrait réduire de 45 millions le nombre de personnes souffrant d’insécurité alimentaire, apportant ainsi une amélioration significative des conditions de vie et du bien-être.
Un autre point important est que les projets axés sur l’autonomisation des femmes et la promotion de l’égalité des sexes apportent des bénéfices encore plus importants que ceux qui s’attaquent uniquement à la question en général. L'étude révèle que si la moitié des petits producteurs bénéficiaient d'interventions de développement axées sur l'autonomisation des femmes, cela entraînerait une augmentation significative des revenus de 58 millions de personnes supplémentaires, ainsi qu'un renforcement de la résilience de 235 millions de personnes supplémentaires.
En bref, les recommandations du rapport soulignent l'importance d'investir dans l'égalité des sexes dans les systèmes agroalimentaires. En comblant les écarts d’accès, en s’attaquant aux inégalités structurelles, en favorisant des changements transformateurs et en améliorant la disponibilité des données, nous pouvons créer un avenir plus équitable, plus durable et plus prospère dans lequel les femmes jouent un rôle central dans la construction de systèmes agroalimentaires résilients et équitables.
Promouvoir la sécurité alimentaire et la nutrition durable en Europe et en Asie centrale : défis et opportunités
Un nouveau rapport de ONU souligne l'importance de la sécurité alimentaire et de la nutrition dans la région Europe et Asie centrale, offrant un aperçu de la manière d'évoluer vers des régimes alimentaires plus accessibles et durables. Même si la région dans son ensemble est dans une position relativement meilleure que d’autres parties du monde, le rapport souligne la nécessité de remédier à certains développements pour éviter des revers dans ce domaine crucial.
La sécurité alimentaire et la nutrition sont fondamentales pour assurer le bien-être des populations et le développement durable. Le rapport souligne que la région Europe et Asie centrale est confrontée à des défis spécifiques dans ce domaine, qui doivent être relevés de manière globale et coordonnée. Bien que la faim extrême soit une réalité rare dans la région, d’autres problèmes méritent notre attention, tels que la mauvaise nutrition, le manque d’accès à une alimentation saine et la durabilité des systèmes alimentaires.
L'une des préoccupations soulignées dans le rapport est la forte prévalence d'une alimentation malsaine, caractérisée par une consommation excessive d'aliments transformés, de sucre, de sel et de graisses saturées. Ces habitudes alimentaires inadéquates sont associées à des maladies chroniques telles que l’obésité, le diabète et les maladies cardiovasculaires. Il est donc essentiel de promouvoir une transition vers une alimentation plus équilibrée, basée sur des aliments frais, nutritifs et durables.
En outre, le rapport souligne l’importance d’un accès abordable à des aliments sains. Le manque de ressources financières empêche souvent les gens d’accéder à une variété d’aliments nutritifs, ce qui entraîne des disparités en matière de sécurité alimentaire. Il est nécessaire d’adopter des mesures qui rendent les aliments sains plus accessibles et financièrement viables pour tous, en particulier pour les groupes vulnérables, tels que les personnes à faible revenu et les communautés marginalisées.
Un autre aspect crucial abordé par le rapport est la nécessité de rendre les systèmes alimentaires plus durables. Cela implique de réduire le gaspillage alimentaire, de promouvoir une production agricole durable, de réduire l'utilisation des ressources naturelles telles que l'eau et la terre et d'adopter des pratiques agricoles qui préservent la biodiversité et minimisent l'impact environnemental.
Pour relever ces défis, le rapport propose une approche intégrée et collaborative. Il est essentiel de renforcer les politiques et les réglementations qui promeuvent une alimentation saine, d’investir dans des programmes d’éducation alimentaire et nutritionnelle, d’encourager les partenariats public-privé pour améliorer les infrastructures alimentaires et promouvoir une agriculture durable. En outre, la coopération régionale et l’échange de bonnes pratiques peuvent jouer un rôle crucial dans la recherche de solutions communes et le partage des connaissances et des ressources.
Le rapport souligne également la nécessité urgente de redéfinir les politiques alimentaires et agricoles pour relever le « triple défi » des systèmes agroalimentaires actuels : accroître l’accessibilité à une alimentation saine, garantir de meilleurs moyens de subsistance aux agriculteurs et améliorer la durabilité environnementale. Cette redéfinition est essentielle pour relever les défis mondiaux liés à la sécurité alimentaire, à la nutrition, à la pauvreté rurale et au changement climatique.
L'une des principales recommandations du rapport est que les incitations fiscales soient étendues au-delà du soutien aux agriculteurs individuels, dans le but d'améliorer les services globaux. Cela comprend des investissements dans la recherche et le développement agricoles, l’éducation, la vulgarisation agricole, la lutte contre les ravageurs et les maladies, les systèmes publics de contrôle de la sécurité alimentaire, l’agriculture intelligente face au climat et les technologies et pratiques efficaces de contrôle des émissions. Il sera ainsi possible de stimuler l’innovation et l’adoption de pratiques plus durables tout au long de la chaîne de valeur agroalimentaire.
En outre, il souligne l'importance de politiques complémentaires dans des domaines tels que la santé, la protection sociale, le commerce et l'environnement. Une approche intégrée de ces politiques est essentielle pour garantir que les efforts de restructuration des systèmes agroalimentaires aient un impact significatif dans la région. Cela nécessite une coopération et une coordination étroites entre les différents secteurs et acteurs impliqués.
Dans le contexte de la durabilité environnementale, la nécessité de réduire les émissions de gaz à effet de serre et de promouvoir des pratiques agricoles plus respectueuses du climat se fait sentir. Des technologies et des pratiques fondées sur la science, intelligentes face au climat et économes en énergie doivent être appliquées tout au long des chaînes de valeur agroalimentaires, dans le but d’atténuer les impacts environnementaux négatifs et de conserver les ressources naturelles.
Cependant, le rapport souligne que toutes ces initiatives doivent être adaptées aux circonstances locales et respecter le principe de participation. Il est crucial d’impliquer les parties prenantes concernées telles que les agriculteurs, les communautés locales, les organisations de la société civile et le secteur privé pour garantir que les politiques et mesures soient culturellement appropriées, socialement inclusives et économiquement viables.
Développement durable en milieu rural : un pacte pour l’avenir
Une récente étude détaillée menée par l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) a révélé que les petits agriculteurs sont responsables d'environ un tiers de la production alimentaire mondiale. Selon l'étude publiée dans World Development, cinq fermes sur six dans le monde ont une superficie inférieure à deux hectares, occupant seulement environ 12% de toutes les terres agricoles, tout en contribuant à environ 35% de l'approvisionnement alimentaire mondial.
Cette contribution des petits exploitants agricoles à l’approvisionnement alimentaire varie considérablement d’un pays à l’autre, avec une part atteignant 801 TP3T en Chine, tandis que dans des pays comme le Brésil et le Nigeria, la part se situe à un chiffre dans le bas de la fourchette. Cette analyse souligne l'importance de disposer de données améliorées et harmonisées pour obtenir une image plus précise et plus détaillée des activités agricoles, dans le but d'aider les décideurs politiques.
Il est crucial d’éviter d’utiliser les termes « agriculture familiale » et « petite propriété » de manière interchangeable, comme le souligne Marco Sánchez, directeur adjoint de la Division de l’économie agroalimentaire de la FAO. Même si la plupart des exploitations familiales sont petites, il est important de reconnaître que certaines d’entre elles sont de taille moyenne, voire grande.
En 2014, un rapport emblématique de la FAO estimait que neuf exploitations agricoles sur dix sur 570 millions dans le monde étaient des exploitations familiales, responsables d'environ 801 TP3T de la production alimentaire mondiale. La nouvelle recherche, intitulée « Quelles exploitations agricoles nourrissent le monde et les terres agricoles sont-elles devenues plus concentrées ? », cherche à clarifier la prévalence des différentes tailles d'exploitations agricoles.
Selon des estimations actualisées, il existe plus de 608 millions d’exploitations familiales dans le monde, occupant entre 70% et 80% de terres agricoles et produisant environ 80% de la valeur totale des aliments produits dans le monde. L'étude présente également des estimations de la taille des exploitations : environ 70% de toutes les exploitations, qui ne représentent que 7% de terres agricoles, mesurent moins d'un hectare. En outre, 14% d'exploitations, contrôlant 4% de terres, ont une superficie comprise entre un et deux hectares, tandis qu'un autre 10% d'exploitations, couvrant 6% de terres, ont une superficie comprise entre deux et cinq hectares.
D'autre part, 1% des plus grandes exploitations agricoles du monde, avec plus de 50 hectares, détiennent plus de 70% de terres agricoles mondiales, dont près de 40% sont concentrées dans des exploitations de plus de 1 000 hectares.
Ces résultats mettent en évidence l’importance des petits agriculteurs dans la production alimentaire et soulignent la nécessité de politiques et de stratégies qui soutiennent et renforcent ce secteur.
La politique publique la plus pertinente en faveur de l'agriculture familiale au niveau brésilien a débuté en 1995 avec la création du Programme national de renforcement de l'agriculture familiale (Pronaf). L'objectif du programme est de renforcer l'agriculture familiale à travers un financement subventionné des services agricoles et non agricoles. Ce programme garantit la diversification des activités agricoles sur les propriétés familiales, permet l'entrepreneuriat à travers la transformation et l'agro-industrialisation des aliments produits par l'agriculture familiale, ainsi que la satisfaction des exigences de commercialisation et l'adoption de pratiques de conservation pour une production durable sur le plan environnemental, économique et social.
Conscients de son importance économique, sociale et environnementale, plusieurs gouvernements ont mis en place des politiques publiques de soutien spécifiquement destinées aux agriculteurs familiaux. Ces politiques visent à promouvoir le développement durable, à garantir des revenus adéquats, à donner accès aux ressources et aux marchés et à renforcer la sécurité alimentaire.
L'une des principales politiques est la Politique nationale d'assistance technique et de vulgarisation rurale (Pnater). Grâce à cette politique, les agriculteurs familiaux reçoivent une assistance technique et une vulgarisation rurale, qui comprend des conseils sur les pratiques agricoles durables, la gestion des ressources naturelles, les technologies appropriées et l'accès aux informations pertinentes. Cela aide les agriculteurs à améliorer leur productivité, leur efficacité et leur résilience, favorisant ainsi le développement de leurs propriétés et de leurs communautés.
Une autre mesure importante est l’assurance agricole familiale (SEAF), qui offre aux agriculteurs familiaux une couverture financière en cas de perte de récolte due à des événements météorologiques défavorables. Cette assurance aide les agriculteurs à faire face aux risques liés à la production agricole et protège leurs revenus, évitant ainsi des conséquences économiques désastreuses.
La Politique de Garantie du Prix Minimum (PGPM) est une autre initiative pertinente. Il fixe des prix minimaux pour les produits agricoles, garantissant une rémunération équitable aux agriculteurs et un approvisionnement national régulier. Cela contribue à équilibrer le marché, en évitant les fluctuations soudaines des prix et en assurant la stabilité des agriculteurs familiaux.
En outre, des programmes tels que le Programme national de production et d'utilisation du biodiesel (PNPB) et le Programme d'acquisition de produits alimentaires (PAA) visent à promouvoir l'inclusion productive et la génération d'emplois et de revenus pour les agriculteurs familiaux. Le PNPB encourage la production et l'utilisation durables du biodiesel, tandis que le PAA achète des aliments directement auprès de l'agriculture familiale pour les donner à des entités d'assistance sociale ou les commercialiser sur le marché, élargissant ainsi les opportunités commerciales pour ces agriculteurs.
Une autre mesure importante est le Programme national de restauration scolaire (PNAE), qui alloue des ressources pour acheter des aliments sains issus de l'agriculture familiale pour les repas scolaires. Cela profite à la fois aux agriculteurs, qui ont accès à un marché stable et garanti, et aux étudiants, qui reçoivent des repas nutritifs et de qualité.
À ces politiques s'ajoutent des initiatives visant à l'accès à la terre, comme le Programme national de crédit foncier (PNCF), qui propose des financements aux agriculteurs familiaux pour acquérir des terres et investir dans la structuration de leurs propriétés. Le programme Brasil Mais Cooperativo joue également un rôle important, en soutenant les coopératives et les associations rurales grâce à une assistance spécialisée et à la qualification des processus de gestion, de production et de commercialisation.
La mise en œuvre de politiques publiques de soutien à l’agriculture familiale est essentielle pour promouvoir le développement durable, la sécurité alimentaire et l’inclusion socio-économique des agriculteurs familiaux. Ces politiques reconnaissent l'importance économique, sociale et environnementale de cette forme d'agriculture et cherchent à fournir les ressources, les connaissances et les incitations nécessaires pour renforcer ce secteur.
En garantissant l'accès à l'assistance technique, à la vulgarisation rurale, au crédit, à l'assurance agricole et à des prix minimum garantis, les politiques publiques offrent soutien et stabilité aux agriculteurs familiaux, leur permettant d'améliorer leurs pratiques agricoles, d'augmenter leur productivité et leurs revenus, et de faire face aux défis climatiques. économique.
Ces politiques ont un impact significatif sur la vie des agriculteurs familiaux, renforçant leurs capacités, améliorant leurs conditions de vie et contribuant à réduire la pauvreté et à promouvoir la sécurité alimentaire. De plus, ils promeuvent la préservation de l’environnement, encouragent les pratiques agricoles durables et l’appréciation de la biodiversité.
Il est toutefois important que ces politiques soient constamment revues et améliorées, en tenant compte des particularités de chaque région et des défis émergents. Le soutien à l’agriculture familiale doit être considéré comme un investissement stratégique, capable de stimuler le développement rural, de réduire les inégalités et de promouvoir la durabilité mondiale.
La Conférence du Pacte rural, tenue en 2022, a marqué la recherche d'objectifs communs liés au développement rural. Lors de cet événement, tous les acteurs potentiellement intéressés ont été invités à proposer des engagements, c'est-à-dire des actions spécifiques qu'il est proposé de réaliser pour avancer vers les objectifs établis dans la vision rurale.
À ce jour, environ 80 engagements ont été présentés, reflétant la diversité des idées et des propositions des participants. La moitié de ces engagements sont formellement établis, tandis que l'autre moitié sont des idées d'actions qui sont encore en cours d'élaboration par les participants. Ce large éventail d'engagements démontre l'engagement et l'intérêt des différents acteurs dans la promotion de changements positifs dans les zones rurales.
Parmi les engagements soumis, environ 30% proviennent de particuliers, tandis que les 70% restants proviennent d'organisations. Parmi les organisations, on distingue les organisations non gouvernementales (ONG), les pouvoirs publics, les instituts universitaires et de recherche et les organisations commerciales. Cette participation diversifiée montre que les secteurs gouvernementaux et non gouvernementaux ainsi que les établissements d'enseignement et de recherche reconnaissent l'importance de s'engager dans le Pacte rural.
Par rapport aux pays représentés dans les engagements, on observe une large répartition géographique. Les trois premiers pays en termes de nombre d'engagements sont l'Espagne, l'Italie et la Belgique, suivis par la Suède, la France, la Grèce, l'Irlande, le Portugal, la Slovaquie, les Pays-Bas, l'Autriche, la Bulgarie et l'Allemagne. Cette diversité de pays démontre la portée internationale du Pacte rural et sa pertinence pour différents contextes et réalités rurales.
Concernant les thématiques couvertes par les engagements, la plupart des organisations sont impliquées dans le développement rural, la politique régionale, l'agriculture, la recherche et l'innovation. Ces domaines sont essentiels pour stimuler le développement durable et relever les défis auxquels sont confrontées les communautés rurales. Le fait que différents acteurs soient déterminés à résoudre ces problèmes reflète la nécessité d’une approche multidimensionnelle et collaborative pour obtenir des résultats significatifs.
Dans l'ensemble, la présentation des engagements au titre du Pacte rural représente une étape importante vers une vision commune du développement rural. Cette initiative a mobilisé divers acteurs, tant individuels qu'organisationnels, et a démontré le potentiel de coopération et de collaboration pour conduire à des actions concrètes et positives dans les zones rurales. À mesure que ces engagements seront mis en œuvre, ils devraient avoir un impact significatif et contribuer à bâtir un avenir rural plus prospère, plus durable et plus inclusif.
La Commission européenne reconnaît l'importance des zones rurales et s'engage à garantir la poursuite de leur développement durable. En ce sens, une vision à long terme pour les zones rurales de l'Union européenne (UE) a été établie jusqu'en 2040, à travers une communication officielle. Cette vision vise à créer des zones rurales plus fortes, interconnectées, résilientes et prospères, en identifiant des domaines d'action pour atteindre ces objectifs.
Ô Plan d'action de l'UE pour les zones rurales, à son tour, est une approche globale qui vise à fournir des orientations et des instruments spécifiques pour soutenir le développement rural. Il englobe des initiatives phares tangibles, c’est-à-dire des actions concrètes et visibles mises en œuvre dans différents domaines et secteurs. Ces initiatives visent à renforcer les zones rurales, à améliorer la connectivité et la cohésion territoriale, à accroître la résilience et à promouvoir la prospérité des communautés rurales.
La combinaison du Pacte rural et du Plan d’action de l’UE pour les zones rurales constitue une approche stratégique qui vise à susciter des changements significatifs et positifs dans les zones rurales de l’Union européenne. Ces initiatives fournissent un cadre d'action pour mettre en œuvre des politiques et des programmes qui soutiennent le développement rural, en tenant compte des besoins et des défis spécifiques auxquels sont confrontées les communautés rurales.
Grâce à ces mesures, l'UE cherche à renforcer les zones rurales, à promouvoir l'innovation, à améliorer la qualité de vie, à stimuler l'activité économique et à préserver le patrimoine naturel et culturel des zones rurales. En outre, ces actions contribuent à réduire les disparités territoriales et à promouvoir une approche de développement plus équilibrée et inclusive sur l’ensemble du territoire de l’Union européenne.
En bref, la vision définie pour les zones rurales de l'UE jusqu'en 2040, ainsi que le Pacte rural et le Plan d'action de l'UE pour les zones rurales, démontrent l'engagement de la Commission européenne à favoriser le développement durable et à promouvoir le bien-être dans les zones rurales. Ces initiatives fournissent une feuille de route claire pour la mise en œuvre de mesures concrètes et tangibles qui contribueront à atteindre les objectifs proposés, bénéficiant à la fois aux communautés rurales et à la société dans son ensemble.
La FAO affirme que des programmes sociaux efficaces jouent un rôle crucial dans l'atténuation de ces problèmes en apportant un soutien direct aux familles et aux individus confrontés à des difficultés socio-économiques.
Ces programmes visent principalement à fournir un accès à une alimentation adéquate et nutritive ainsi qu’à d’autres ressources essentielles telles que l’eau potable, les soins de santé et l’éducation. Elles peuvent inclure des initiatives telles que la distribution de nourriture, le transfert de revenus, les programmes d'alimentation scolaire, le développement des infrastructures rurales, la formation et la formation agricoles, entre autres.
En plus de fournir un soutien immédiat, les programmes sociaux visent également à s’attaquer aux causes sous-jacentes de la pauvreté et de l’insécurité alimentaire. Ils cherchent à promouvoir le développement durable, à renforcer les capacités locales et à créer des opportunités permettant aux populations de vaincre la pauvreté de manière durable.
La FAO souligne que les programmes sociaux doivent être mis en œuvre de manière intégrée, en abordant les multiples dimensions de la pauvreté et de la faim. Cela inclut la prise en compte des questions de genre, de l’inclusion sociale, de la durabilité environnementale et du renforcement des communautés locales. En outre, la participation active des communautés bénéficiaires et la collaboration entre les gouvernements, les organisations de la société civile et le secteur privé sont fondamentales pour le succès de ces programmes.
Le Partenariat international pour la coopération sur le travail des enfants dans l'agriculture est une initiative menée par la FAO en collaboration avec plusieurs partenaires internationaux, des gouvernements, des organisations de la société civile et le secteur privé. Son objectif principal est de combattre et d’éradiquer le travail des enfants dans l’agriculture, en promouvant des changements politiques et pratiques au niveau mondial.
Le travail des enfants dans l’agriculture est une préoccupation grave et persistante dans de nombreux pays, affectant des millions d’enfants dans le monde. Ces enfants sont souvent impliqués dans des activités dangereuses, soumis à des conditions de travail précaires et privés d’accès à l’éducation et de possibilités adéquates de croissance et de développement.
Le Partenariat international pour la coopération sur le travail des enfants dans l'agriculture vise à sensibiliser et à mobiliser les différents acteurs impliqués dans l'agriculture, notamment les gouvernements, les producteurs, les travailleurs, les organisations de la société civile et les consommateurs. Grâce à cette collaboration, nous cherchons à promouvoir des changements significatifs dans les politiques et les pratiques pour garantir le respect des droits des enfants et leur protection contre le travail des enfants.
Le partenariat se concentre sur une approche intégrée et globale, qui englobe la sensibilisation, la promotion des politiques publiques, la formation des acteurs clés, la mise en œuvre de stratégies d'inspection et de contrôle, ainsi que la coopération internationale et l'échange de bonnes pratiques.
L'une des principales activités du partenariat est l'élaboration et la mise en œuvre de plans d'action nationaux spécifiques pour chaque pays participant. Ces plans visent à renforcer le cadre normatif et réglementaire lié au travail des enfants dans l'agriculture, à améliorer la capacité de contrôle et à promouvoir des actions concrètes pour soustraire les enfants au travail des enfants et leur fournir des opportunités d'éducation et de développement adéquates.
La FAO dirige 26 projets soutenus par le Fonds pour l'environnement mondial pour transformer les systèmes agroalimentaires en solutions environnementales
Les causes de la Fonds pour l'environnement mondial (FEM) a récemment approuvé 26 projets menés par l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) dans le but de transformer les systèmes agroalimentaires en solutions aux défis environnementaux mondiaux. Ces initiatives représentent un financement total de 174,7 millions de dollars US de la part du FEM et contribueront à mobiliser 1,2 milliard de dollars US supplémentaires de cofinancement.
Les projets aborderont un large éventail de problèmes environnementaux tels que le changement climatique, la dégradation des terres, la perte de biodiversité, la pollution de l'eau et l'utilisation durable des ressources naturelles. Ils visent à promouvoir la transformation des systèmes agroalimentaires, intégrant des pratiques agricoles durables, la conservation de la biodiversité, une gestion efficace de l’eau et l’adoption de technologies à faibles émissions de carbone.
En adoptant une approche intégrée, ces projets visent non seulement à améliorer la durabilité environnementale des systèmes agroalimentaires, mais également à promouvoir une productivité accrue, la sécurité alimentaire et le renforcement des communautés rurales. Ils soulignent l’importance de pratiques agricoles innovantes et à faible impact, favorisant la conservation des ressources naturelles et la résilience des agriculteurs face au changement climatique.
Par ailleurs, les projets menés par la FAO visent également à promouvoir l'inclusion sociale et l'équité entre les sexes dans les systèmes agroalimentaires. Ils cherchent à autonomiser les petits exploitants agricoles, en particulier les femmes et les jeunes, grâce à l’accès aux ressources, à la formation, à la technologie et aux opportunités de marché. En renforçant les capacités locales, ces initiatives visent à stimuler le développement rural durable et à réduire les inégalités.
L'approbation de ces projets par le FEM démontre la reconnaissance de l'importance des systèmes agroalimentaires comme levier pour résoudre les défis environnementaux mondiaux. En investissant dans des approches agricoles innovantes et durables, la FAO et ses partenaires cherchent à promouvoir une transition vers des systèmes alimentaires plus résilients, inclusifs et écologiques.
Le partenariat entre l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et le Fonds pour l'environnement mondial (FEM) pilote une série de projets innovants visant à transformer les systèmes agroalimentaires en solutions efficaces pour relever les défis environnementaux urgents. Avec un financement total de 174,7 millions de dollars US du FEM, ces projets ont le potentiel de mobiliser plus de 1,2 milliard de dollars US de cofinancement, marquant une étape importante vers la durabilité et la résilience.
L'approche intégrée de ces projets couvre plusieurs domaines critiques, notamment la perte de biodiversité, le changement climatique, la dégradation des écosystèmes et la pollution des terres, de l'eau douce et des océans. L’objectif est de créer un impact positif sur les paysages terrestres et marins grâce à une meilleure gestion des zones protégées, des pratiques agricoles durables, une foresterie responsable et une pêche durable.
Cette initiative stratégique vise à restaurer les écosystèmes dégradés, à atténuer les émissions de gaz à effet de serre, à améliorer la gestion des ressources naturelles partagées et à bénéficier à 1,6 million de femmes et d'hommes. Les projets contribueront à la création ou à l'amélioration d'environ 17,9 millions d'hectares d'aires protégées, favorisant la conservation de forêts d'importance mondiale, la gestion coopérative d'écosystèmes aquatiques partagés et la restauration de 820 000 hectares d'écosystèmes.
Parmi les projets, se distinguent ceux développés dans des biomes forestiers critiques, tels que le Laos, le Nicaragua, le Panama, la Papouasie-Nouvelle-Guinée, la Thaïlande et le Venezuela. Ces initiatives, dirigées par la FAO et l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), visent à protéger et à conserver les forêts d'importance mondiale, tout en améliorant la gestion des ressources forestières.
En outre, des programmes spécifiques ont été ciblés sur les îles bleues et vertes, abordant l'interdépendance entre l'environnement et les systèmes économiques dans les petits États insulaires en développement (PEID). Des pays comme le Cap-Vert, Cuba, Maurice, Trinité-et-Tobago et Vanuatu bénéficieront de ces actions, en quête d'un développement durable qui équilibre la conservation de l'environnement et la croissance économique.
La restauration des écosystèmes est également un élément clé de ces projets, impliquant la Côte d'Ivoire, le Népal, São Tomé et Príncipe et le Vietnam. Ces initiatives seront consacrées à la revitalisation des paysages dégradés, à la récupération de centaines de millions d'hectares et à la génération de bénéfices économiques, écologiques et de subsistance pour les communautés locales.
Outre les projets à grande échelle, le partenariat entre la FAO et le Fonds pour l'environnement mondial (FEM) englobe également des initiatives individuelles visant à relever des défis spécifiques liés à la conservation de la biodiversité, à la dégradation des terres, à l'adaptation au changement climatique et à la gestion des systèmes d'eau partagés. Ces projets sont mis en œuvre dans plusieurs pays, dans le but de renforcer la durabilité environnementale et la sécurité alimentaire.
Un exemple notable est le projet régional englobant Djibouti, l’Égypte, l’Érythrée, la Jordanie, le Soudan et le Yémen. Dans cette région, la gestion durable de la pêche sera encouragée dans le grand écosystème marin de la mer Rouge, dans le but de préserver les ressources halieutiques et de garantir la subsistance des communautés côtières.
Un autre projet mondial s’attaquera à un problème urgent : réduire les déchets plastiques marins. Grâce à des initiatives mises en œuvre au Costa Rica, au Kenya et à Vanuatu, des solutions seront testées pour atténuer l'impact négatif du plastique dans les océans, protégeant ainsi la vie marine et les écosystèmes côtiers.
Le Venezuela recevra le soutien de la FAO pour renforcer la gestion et la lutte contre les espèces aquatiques envahissantes dans les zones marines protégées côtières. Cet effort vise à protéger la biodiversité et à préserver l'intégrité des écosystèmes marins du pays.
Dans d'autres pays, comme le Chili, le Honduras, le Mexique, Haïti, la Zambie et le Cap-Vert, la FAO s'efforce de promouvoir la durabilité environnementale et la sécurité alimentaire. Les actions comprennent la diversification des revenus grâce à la restauration des paysages, l'intégration de la biodiversité à différents niveaux de gouvernance, la promotion de la gestion durable des terres et l'adaptation au changement climatique dans les communautés locales.
Ces projets individuels représentent une approche stratégique adaptée aux besoins spécifiques de chaque pays, cherchant à améliorer la gestion des ressources naturelles, à renforcer la résilience climatique et à assurer la durabilité des systèmes agroalimentaires. Grâce à ces initiatives, la FAO et le FEM travaillent ensemble pour relever de manière globale les défis environnementaux et promouvoir un avenir plus durable et plus sûr pour tous.
Par conséquent, en adoptant des pratiques agricoles durables, il est possible d’obtenir des avantages économiques, environnementaux et sociaux à long terme. Cela comprend l’amélioration de la productivité agricole, la réduction des coûts de production, la conservation des ressources naturelles, l’atténuation du changement climatique et la promotion de la sécurité alimentaire et nutritionnelle.